Appel à communication

 

 

Ethnographies plurielles #13

 

Colloque international et interdisciplinaire

 

Ethnographie et recherches participatives.

Actualités des formes de recherche-action en sciences sociales

 

17 au 19 janvier 2024

Amphithéâtre de la MILC

Maison internationale des langues et des cultures (MILC), Lyon

 

Appel à communications

 

Argumentaire

La question des formes d’intervention de l’ethnographie est à la fois ancienne et en constant renouvellement. Elle s’articule à des enjeux importants relevant des transformations sociales et culturelles, des relations entre science et société, des enjeux sociaux, environnementaux, économiques ou politiques, des modes d’implication et d’application de l’anthropologie, de la sociologie et de la variété des métiers ouverts aux sciences sociales. Les défis sociétaux et environnementaux actuels ont renouvelé l’intérêt déjà ancien du croisement des savoirs scientifiques, d’action, d’expérience qui répond « à la fois aux préoccupations pratiques d’acteurs se trouvant en situation problématique et au développement des sciences sociales, par une collaboration qui les relie selon un schéma éthique mutuellement acceptable » (Rapoport, 1970). Des citoyens s’engagent auprès de scientifiques, et réciproquement, dans la production de connaissances utilisables pour l’action et pouvant jouer un rôle de transformation. Ce mouvement des « sciences et recherches participatives » (Houillier, 2016) s’est particulièrement développé et structuré ces dernières années à travers les « boutiques de sciences », les living labs, open labs, fab labs, foundaries, tiers-lieux, etc. et les financements régionaux ou nationaux (PIA3, PIA4, labellisation SAPS des universités, ANR Recherches participatives 2022 et 2023), au point qu’il existe depuis 2017 une charte des Sciences participatives en France.

Ce colloque souhaite explorer les liens et les résonances entre l’ethnographie et les formes de recherche-action et de sciences participatives. On sait l’importance de l’analyse de la demande ou de la commande au départ dans toutes formes de recherche-action. Ce processus ne se limite pas au début mais se prolonge tout au long de l’intervention. De la même manière, en ethnographie l’accès au terrain, situé au début l’enquête, est central et conditionne largement la réussite du travail de recherche et l’engagement de l’ethnographe. La place qu’il occupe change au fur et à mesure de l’enquête et la négociation de cette place comme son analyse ne sont jamais achevées et devront être retravaillées jusqu'à la fin. Dans les deux cas, l'analyse de cette situation est une source indispensable de connaissance.

Ce point souligne la question épineuse de la fameuse neutralité axiologique dans les recherches en sciences sociales, neutralité qui manquerait justement aux formes de recherche-action participative. Mais « il n'y a pas d'observation neutre, pur regard qui laisserait inchangés les phénomènes sur lesquels il porte. L'observateur est aussi acteur. [...] Ce qui lui est dit, ce qui lui est donné à voir n'est jamais dissociable des caractéristiques spécifiques de la situation d'enquête » (Schwartz, 1993 : 271-272). En conséquence, une situation sociale ou un groupe est donc d’abord interrogé silencieusement par l'entrée du chercheur.e avant même de l'être verbalement par lui. Les réactions à sa présence et les modalités de refus, de résistance ou d'acceptation de celle-ci doivent donc être considérées comme des données d'enquête à part entière. Les techniques de neutralisation de la situation d’enquête, la volonté d’atteindre une réalité sociale authentique et celle d’obtenir des données de recherche pures peuvent être considérés dans cette perspective comme des illusions. « Le réel de l’enquête est d'abord celui qu'elle produit » (Schwartz, 1993 : 272) et l’anthropologue doit chercher à objectiver les processus en jeu dans la situation de recherche elle-même. Autrement dit, il s’agit de reconnaître l'impossibilité d'une position de pure extériorité pour l'observateur participant. D’où la nécessité d’une analyse réflexive de la dynamique enclenchée par la demande d'enquête car dans les interactions se met en place un processus de contre-interprétation de l'« observateur » par les « observés ». Il s’agit donc de penser cette réciprocité du regard au cœur de la relation d'enquête et de s’en servir comme d’un outil de connaissance (Papinot, 2014 : 116-122).

Le colloque vise à interroger l’ethnographie en situation d’intervention (c’est-à-dire assumant une forme volontariste de transformation sociale et culturelle), sous l’angle des pratiques variées des formes de la recherche-action : recherche-action classique, recherche collaborative, recherche participative, partenariale, publique, recherche négociée, recherche embarquée, community based research, recherche-création, recherche de plein air… Cette pluralité d’appellations et de pratiques met en avant des conceptions différentes de cette intervention des sciences sociales qui néanmoins se rejoignent à travers des traits caractéristiques communs. L’ensemble des méthodes et des courants de recherche-action revendique un double objectif de changement concret dans le système socio-culturel et de production de connaissances sur celui-ci, attachant autant d'importance à l'action comme moyen de transformation de la réalité qu'à la recherche scientifique comme moyen de connaître cette réalité et de développer les connaissances. Cet objectif conduit à poser la participation de la société civile et des acteurs de terrain comme un principe fondamental de la recherche participative. Les trois dimensions clés de ce dispositif de recherche que sont le changement, l’élaboration de connaissance et l’intervention du chercheur.e recouvrent des significations différenciées en fonction du cadre épistémologique et de la vision de la réalité sociale et culturelle qu’ils soutiennent.

Ce colloque souhaite ainsi faire le point sur les formes d’expérience et les modalités de l’ethnographie en situation de recherche-action, de participation et de collaboration avec des acteurs et des groupes de la société civile dans les secteurs de l’éducation populaire, de l’environnement et de la transition écologique, de l’aménagement, de l’urbanisme, du développement, de la santé, du travail social, de l'économie sociale et solidaire, de l’éducation, de l’action publique, de l’art, des sports et des loisirs, etc. Il s’agira ainsi d’explorer les différentes formes que peuvent prendre les situations d’intervention dans le domaine de l’anthropologie, de la sociologie et des sciences sociales plus généralement ainsi que les multiples traductions, médiations et négociations qu’elles supposent. Le colloque ambitionne de faire un état des lieux de ces expériences plurielles et des liens qu’elles entretiennent avec l’ethnographie. Un des enjeux est de contribuer à l'émergence d'une communauté (scientifique, technique et citoyenne) mobilisée par des dispositifs de recherche-action et par le souci de démocratie participative qu’ils sous-entendent.

Quels sont les liens entre enquête ethnographique et demande sociale ou culturelle aujourd’hui ? A quels types de participation, de collaboration, de co-construction et d’hybridation assiste-t-on entre ethnographie et recherche-action, chercheur.e.s et acteurs sociaux ? Quelles en sont les formes ? A quelle évolution assiste-t-on entre les expériences d’hier et celles d’aujourd’hui ? Quels en sont les cadres théoriques, les filiations et les potentialités ? A quels dispositifs méthodologiques et outils se rapporte-t-elle ? Que vient-elle interroger et révéler, tant dans les pratiques sociales que dans les formes prises par la recherche en sciences sociales et humaines aujourd’hui ? Quels sont les savoirs produits ? Comment sont-ils partagés et à qui profitent-ils ? Quelle en est la réception dans le champ académique et dans celui de la société civile ? A quels cadres épistémologiques se rattachent-ils ?  Quels sont les dimensions de l’action et de la transformation à l’œuvre ? Comment les évaluer ? Comment sont-elles appropriées par les participant.e.s ?

Le colloque s’adresse à un public international de chercheur.e.s en sciences sociales (anthropologie, ethnologie, ergonomie, sociologie, sciences politiques, géographie, sciences de l’éducation, architecture, urbanisme…), de praticien.nes, professionnel.les, militant.e.s ou bénévoles engagé.e.s, dans des expériences de collaboration et de co-construction d’une forme de recherche-action. Pour cela, les communications à plusieurs voix (chercheur/acteur) seront privilégiées et une égale parole sera donnée à chacun.e des intervenant.e.s afin de permettre l’expression d’expériences et d’analyses variées. C’est aussi une manière de faire dialoguer in situ des points de vue différents. L’approche empirique par l’ethnographie et le terrain et par une posture de réflexivité critique sont sollicitées pour comprendre, comparer et interroger les usages de ces dispositifs de recherche participative, ses mécanismes de fonctionnement et ses enjeux théoriques et pratiques.

Les travaux présentés devront s’inscrire dans la définition large de l’ethnographie et des recherches participatives, et pourront porter sur la mise en œuvre du processus de recherche et d’action, sur son analyse, sa réception, ses retombées, etc. Les propositions de contribution pourront s’inscrire également dans l’un des six axes de réflexion suivants :

1-Les frontières de l’ethnographie et des recherches participatives

2-Les échelles de l’implication et de la participation : engagement, intervention, militantisme

3-Dispositif de recherche, cadre de travail et boîte à outils

4-Les savoirs en action, les savoirs de l’action

5-Recherche et création, participation et action

6-Limites et critiques des recherches participatives

 

Modalité de contribution

Langue de la communication : français ou anglais.

 

Les communications pourront faire état de recherches et de collaboration de nature variée (théorique, empirique…) et de dispositifs pratiques réalisées, en cours ou de futures expérimentations.

Ces contributions pourront :

•          s’intégrer dans une table ronde ou un atelier qui réunira a minima trois communications ;

•          faire l’objet d’une communication individuelle ou collective (20’) que le comité d’organisation intégrera au sein de session comprenant d’autres communications.

 

Les propositions de communication (2 500 signes maximum, espaces compris) présenteront l’objet de la recherche, le questionnement et la problématique, le terrain et la méthodologie utilisée.

 

Les propositions comprendront les éléments suivants dans l’ordre d’apparition :

•          Nom, prénom du/des auteur-e-s

•          Fonction et institution de rattachement

•          Adresse mail

•          Titre de la communication

•          Proposition de communication (2 500 signes maximum espaces compris)

•          Une bibliographie sélective (3 à 5 références)

•          5 mots-clés

 

Les propositions (2 500 signes maximum, espaces compris) seront à déposer au plus tard le 30 septembre 2023 (nommer votre fichier de la façon suivante : Nom-Colloque ethnopart 2024.doc) sur la plateforme dédiée au colloque : https://ethno-rech-part.sciencesconf.org/

 

Les propositions seront sélectionnées en fonction de leur qualité scientifique et de l’originalité du matériau empirique ou théorique mobilisé, ou en fonction de la pertinence et de la qualité de l'approche de l'expérience décrite. Les résumés détaillés (8 000 signes espaces compris) des propositions acceptées figureront dans le volume édité pour le colloque.

 

Pour toute question, merci de nous contacter à l’adresse suivante :

ethno-rech-part@sciencesconf.org

 

Calendrier

- Lancement de l’appel à communication sur les réseaux nationaux et internationaux (juin 2023).

- Ouverture des inscriptions : 25 septembre 2023.

- Les propositions de communication (2 500 signes maximum, espaces compris) sont à déposer en utilisant le modèle « modele_depot_resume_ethno-rech-part » au plus tard le 30 septembre 2023 sur la plateforme dédiée au colloque : https://ethno-rech-part.sciencesconf.org/

- Une réponse sera donnée par courriel au plus tard le 23 octobre 2023.

- Le texte de la communication (résumé détaillé de 8 000 signes espaces compris, bibliographie inclus) sera à remettre en utilisant le modèle « modele_depot_publ_ethno-rech-part » pour le 16 décembre 2023 sous format word et pdf sur la plateforme dédiée. Il figurera dans les actes du colloque.

- Clôture des inscriptions : 18 décembre 2023.

- Une publication est envisagée à l’issue du colloque, à l’horizon du printemps 2025.

 

Comité d’organisation

Argouarch Léo, doctorant en anthropologie, Université Lumière Lyon 2, EVS

Leveau Ludivine, doctorante en anthropologie, Université Lumière Lyon 2, EVS

Mandon Claire, gestionnaire, Université Lumière Lyon 2, EVS

Raveneau Gilles, professeur des universités, anthropologue, Université Lumière Lyon 2, EVS

 

Comité scientifique

Adell Nicolas, PU en anthropologie, Université de Toulouse 2-Jean Jaurès, LISST, Toulouse

Béguin Pascal, PU en ergonomie, Université Lumière Lyon 2, EVS, Lyon

Boissière Thierry, MCF en anthropologie, Université Lumière Lyon 2, EVS, Lyon

Botea Bianca, MCF HDR en anthropologie, Université Lumière Lyon 2, LADEC, Lyon

Boukala Mouloud, PU en anthropologie, Université du Québec, CELAT, Montréal (Canada)

Casse Christelle, MCF en ergonomie, Université Lumière Lyon 2, EVS, Lyon

Cerclet Denis, MCF HDR en anthropologie, Université Lumière Lyon 2, EVS, Lyon

Chauliac Marina, CR en anthropologie au CNRS, LAP-LAHIC, Paris

Deboos Salomé, PU en anthropologie, Université Lumière Lyon 2, LADEC, Lyon

Duriez Tiphaine, MCF en anthropologie, Université Lumière Lyon 2, LADEC, Lyon

Fogel Frédérique, DR en anthropologie au CNRS, LESC, Paris

Fournier Laurent Sébastien, PU en anthropologie, Université Côte d’Azur, LAPCOS, Nice

Frétigné Cédric, PU en sciences de l’éducation, Université Paris Est Créteil, LIRTES, Créteil

Gibert Marie-Pierre, MCF en anthropologie, Université Lumière Lyon 2, EVS, Lyon

Givre Olivier, MCF en anthropologie, Université Lumière Lyon 2, EVS, Lyon

Guïoux Axel, MCF en anthropologie, Université Lumière Lyon 2, EVS, Lyon

Lasserre Evelyne, MCF en anthropologie, Université Claude Bernard Lyon 1, EVS, Lyon

Maurines Béatrice, PU en sociologie, Université Lumière Lyon 2, Centre Max Weber, Lyon

Monjaret Anne, DR en anthropologie au CNRS, LAP-LAHIC, SEF, Paris

Nicolas-Le Strat Pascal, PU en sciences de l’éducation, Université Paris 8, Experice, La Plaine Saint-Denis

Raveneau Gilles, PU en anthropologie, Université Lumière Lyon 2, EVS, SEF, Lyon

Ravon Bertrand, PU en sociologie, Université Lumière Lyon 2, Centre Max Weber, Lyon

Reis Mota Fabio, PU en anthropologie, Universidade Federal Fluminense (UFF), INCT, Rio de Janeiro (Brésil)

Serre Solveig, DR en musicologie au CNRS, CESR, Tours

Soulet Marc-Henri, PU en sociologie, Université de Fribourg, Fribourg (Suisse)

Tuaillon Demésy Audrey, PU en STAPS, Université de Franche-Comté, C3S, Besançon

Walsh Andrew, MCF en anthropologie, University of Western Ontario, CRSH, London (Canada)

 

Bibliographie indicative

Alary, J., (1988). Solidarités, pratiques de recherche-action et de prise en charge par le milieu. Montréal : Boréal.

Audoux, C., & Gillet, A., (2011). « Recherche partenariale et co-construction de savoirs entre chercheurs et acteurs », revue Interventions économiques, n° 43.

Bazin, H., (2018). « Les enjeux d'une science citoyenne au cœur de la société, in Hugues Bazin (dir.) Recherche-action et écriture réflexive : la pratique innovante des espaces comme levier de transformation sociale », Cahiers de l'action no 51-52, Jeunesses, pratiques et territoires, Institut national de la jeunesse et de l'éducation populaire, Observatoire de la jeunesse, de l'éducation populaire et de la vie associative (INJEP).

Bonetti, M., Fraisse, J., & De Gaulejac, V. (1995). L'ingénierie sociale. Paris, France : Syros.

Bonny, Y., (2015). Les recherches partenariales participatives : ce que chercher veut dire, in Les chercheurs ignorants, Les recherches-actions collaboratives, une révolution de la connaissance. Paris, France : Presses de l'EHESP, p.36-43.

Bourassa, B., (2015), « Recherche(s)-actions(s) : de quoi parle-t-on ? »  in Les chercheurs ignorants, Les recherches-actions collaboratives, une révolution de la connaissance. Paris, France : Presses de l'EHESP, p.32-35

De Champlain, Y. (2011). L'écriture en recherche qualitative : le défi du rapport à l'expérience. Recherches qualitatives, coll. hors-série « les Actes » association pour la recherche qualitative.

Doucet, M.-C. & Dumas, L., (2015), « La recherche-action collaborative comme activité dialogique », in Les chercheurs ignorants, Les recherches-actions collaboratives, une révolution de la connaissance. Paris, France : Presses de l'EHESP.

Giroux, S., & Tremblay, G. (2002). Méthodologie des sciences humaines : La recherche en action (2ème éd.). Montréal, Canada : Paerson.

Goyette, G. & Lessard-Hébert, M., (1987). La recherche-action, ses fonctions, ses fondements et ses instrumentations. Québec : Presses Universitaires du Québec.

Houillier, F., Merilhou-Goudard J-B., (2016). Les sciences participatives en France : États des lieux, bonnes pratiques et recommandations, rapport.

Lassiter, L. E., (2005). « Collaborative Ethnography and Public Anthropology », Current Anthropology, Vol. 46, n°1, p. 83-106.

Lavoie, L., Marquis, D. & Laurin, P., (2008). La recherche-action : théorie et pratique : manuel d'autoformation. Sainte-Foy, Presses Universitaires de Québec.

Les chercheurs ignorants, (2015), Les recherches-actions collaboratives, une révolution de la connaissance. Paris, France : Presses de l'EHESP.

Liu, M., (2002/1997), Fondements et pratiques de la recherche-action. Paris : L'Harmattan.

Lyet, Ph., (2015), in Les chercheurs ignorants. Les recherches-actions collaboratives, processus de collaboration chercheurs et praticiens dans les recherche-actions. Paris : Presses de l'EHESP.

Manning Erin, Massumi Brian, (2018). Pensée en acte, vingt propositions pour la recherche-création, Paris : ArTeC ; Dijon : Les Presses du réel.

Mayer, R., Ouellet, F., St-Jacques, M.-C., & Turcotte, D. (2000). Méthodes de recherche en intervention sociale, Boucherville, Canada : Editions Gaëtan Morin.

Morin, A., (1997). « La recherche-action intégrale, lieu de modélisation, d'approches méthodologiques complémentaires de recherche ». Revue Recherches qualitatives de l'association pour la Recherche qualitative.

Papinot, C., (2014). La relation d’enquête comme relation sociale. Paris: Presses de l’université Laval et Hermann éditions.

Paturel, D., & Simon, A. (2011). Projets de développement des territoires et participation des habitants : le diagnostic partagé, outil méthodologique via l'intermédiation sociale. Pensée plurielle, 3, vol.28.

Petit, S., Soulard, C.-T., (2015). « Rencontres par-delà les frontières : l'analyse du dispositif pour et sur le développement régional ». Dans les chercheurs ignorants (dir), Les recherches-actions collaboratives, une révolution de la connaissance, Paris, France : Presses de l'EHESP.

Resweber, J-P., (1995). La recherche-action. Paris :  PUF.

Schwartz, O., (1993). « L'empirisme irréductible ». In: Anderson, Niels. Le hobo, sociologie du sans-abri. Nathan.

Tochon, F.V. (2004). La recherche-intervention éducative. Montréal : Presses de l'Université du Québec.

 

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